Macastril : Différence entre versions
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Version du 4 octobre 2006 à 23:25
(La plupart des détails sur ce commandant se trouvent sur l'article de Planitia)
Il est plaisant d'être un commandant accompli aux multiples talents, mais on ne s'y essaie avec succès que si l'on est un minimum aguerri. C'est la leçon que, dès le départ, se prit en pleine gueule le commandant Macastril.
Porté sur le commerce et la diplomatie, ce personnage contradictoire n'hésitait pas à manier le CB quand il lui en prenait l'envie. Lourde erreur de jugement sur ses propres capacités. Ses premiers jours à la tête de son monde natal virent se succéder les échecs militaires. Il se tourna donc vers l'achat et la cession de planètes, mais n'en refit pas moins des erreurs similaires, se prenant pour le guerrier qu'il n'était pas. Une chance que ses abrutis de compatriotes ne se soient à ce jour encore jamais révoltés…
Sa première expansion lui vint du commandant Mungen, un fédéré qui, avant de se suicider, lui légua la totalité de son empire. 8 planètes en tout, ce qui faisait déjà pas mal. Suffisamment en tout cas pour frimer à l'AG, se créer un patrimoine et instaurer une oligarchie financière sur les mondes acquis. De fait, la moitié des planètes actuellement sous son contrôle lui proviennent d'héritages plus ou moins magouilleux.
Il prit donc la moitié de son système natal, le partageant avec Ondusi, le fed local. Il se fit pistonner par Sayan69, une petite frappe turbulente régnant sur une bande de dégénérés adorateurs de Natalies, pour entrer à l'Union Galactique. Cette coalition, alors assez influente, était maniée par un chefaillon du nom de Marco Ramius. Macastril n'y resta que le temps de pomper suffisamment de ressources pour se faire un patrimoine digne de ce nom.
Il fonda ensuite sa propre coalition, Planitia, groupement sans idéologie ni hiérarchie fixe. Cette absence d’autorité définie fit d'ailleurs une partie de sa force. Trois autres commandants, Tito, Ridenow et Sayan69 le rejoignirent rapidement et formèrent la véritable classe dirigeante de la coalition. Ces commandants étaient par nature portés sur l'initiative, ils avaient donc plus besoin d'une plate-forme d'échange que d'une faction belliqueuse et rigide. De son côté, Macastril dilapida une partie de sa fortune en aides diverses, amenant d'autres commandants à passer à Planitia, parfois pour de très courtes durées.
Bientôt, alors que le Sénat se pétait la gueule et que naissait un nouvel ordre, il fut temps de songer à s'étendre par la force. Des semaines de paix relative avaient empli les caisses de Macastril. Une occasion se présenta. Un nain politique lui vendit une planète dans un système en guerre. Il y avait là une kyrielle de petits commandants se faisant la guéguerre pour le contrôle du système. Macastril n'eut aucun mal à créer un casus belli, accusant l'un d'eux de l'avoir plongé dans un conflit qui n'était pas le sien. Il entraîna la coa dans une guerre de colonisation du système en question, et ce conflit lui servit de première véritable expérience de la guerre interplanétaire. Les batailles furent nombreuses. Des commandants extérieurs s'en mélèrent et il s'en fallut de peu pour que le conflit ne se généralise, mais au final le système convoité tomba aux mains de Planitia, plus quelques autres des suites d’une campagne de police étendue. C'était l'apogée de Macastril.
Puis suivit une période de stagnation. Se reposant sur ses quelques planètes, l'homme laissa s'amasser une fortune relativement importante, mais ne suivit pas le mouvement d'expansion qui animait alors continuellement la communauté des commandants. Il fut donc rattrapé puis dépassé par à peu par la majorité des commandants de sa génération.
Pour répondre à ce déclin, il se lança dans le trafic de kamis, s’abaissant au niveau d’un vulgaire trafiquant d’armes. Il se comportait comme un parasite de fed, échangeant ses kamikazes contre quelques planètes. L’affaire démarra avec, ô surprise, un certain succès, lui permettant de rattraper momentanément une partie de son retard. La demande était plus importante que prévu, c’est fou ce que l’on aime péter la gueule à son voisin. Une première réussite commerciale.
Enfin, jusqu’au prochain flop, quoi…
[b]La suite sur Planitia![/b]
parole de commandant.
Tito:<< tu me saoul avec tes histoires a dormir debout mon ptit cachou...>>
llocas:<< Miaw miaou mia ..!>>
Tito:<< Ta g.. le chat :>>
llocas:<< grrrrr... kssss kssss rrraouuuuuu !!!>>
"bruits bizards, miaulement melangé a des cris de rages et de douleur.."