Discours du Commandant Sid Vicious
Cette page regroupe les différents discours prononcés par le Commandant Sid Vicious aux Assemblées :
Le 09/08 ETU :
Et le Commandant Sid Vicious se leva, les yeux pleins de hargne, une main sur son coeur, et l'autre sur le pommeau de son épée.
"L'Empire est illégitime, car il repose sur la force, et la force est l'arme de l'injustice.
Le vote et le processus ne servent à rien pour se débarasser de l'Empire. Il faut achever cette bête immonde et lui porter un coup une fois pour toute.
Amis Commandants,la résistance passe par les armes. Nous n'accepterons aucun Dieu ni aucun Maître. Mettons à bas les idôles qui prospèrent dans cette galaxie.
Je jure devant vous, et ce serment je le garderais, de défendre la liberté. Et cette défense passera par l'attaque de tous les soutients de l'Empire. J'en appelle à vous, Commandants épris de justice et de liberté, de former une coalition qui attaquera l'Empire, et tous les commandants traîtres et leurs intérêts. Ainsi soit-il."
Après avoir prononcé ces paroles, le commandant se retira, sans regarder derrière lui. Du passé, il fallait faire table rase, l'avenir de la galaxie n'attend pas
=Le 09/08 ETU :
Et le Commandant Sid alors ricana en entendant toutes ces paroles vaines et futiles.
"Ah ah ah! Que vous êtes pathétiques!
L'Empire des sens va-t-elle nous libérer? Nous rendre notre raison? Laissez-moi rire!
L'Empire est asservissement. Elle se joue de nous pour mieux nous contrôler. Elle n'est pas ammorale, mais immorale. C'est une organisation qui veut nous rendre esclaves de nos passions.
Mais le Mouvement Discipliniste va-t-il nous libérer pour autant?
Je vous répond par la négative, nobles commandants. Aucun mouvement, Empire ou organisation ne pourra nous libérer. Car c'est nous-même qui avons ce pouvoir. Il faut mettre à bas toute hiérarchie, toute organisation pour enfin nous réapproprier nos vies. A bas l'Empire, à bas le mouvement discipliniste. Nous ne voulons aucune discipline, nous sommes ammorales, mais non pas immorales.
L'Empire est à bout de souffle. Achevons-le!
Vous ne comprenez donc pas?
Mais savez-vous seulement ce qu'est la sensualité? Vous ne comprenez que votre petit plaisir quotidien, votre individualisme racoleur et sirupeux.
Je ne suis pas contre le plaisir. Je suis adepte de la jouisssance sans entraves. Mais votre empire ne peut plus tenir. La colère gronde au sein des masses. Cela ne peut plus durer.
Bientôt, l'heure viendra. Très bientôt la rébellion gagnera les masses. Bientôt nous batierons notre coalition.
Profitez tant que vous pouvez. Sur les cendres de l'Empire s'élèvera l'Ordre Juste.
Et le Commandant Sid se rassit tout en ricannant.
Le 11/08 ETU :
Le Commandant Sid était sidéré devant tant de mauvaise foi et d'incohérence. La dictature sensualiste était allé trop loin.
"Commandante Mata Hari,
Je ne vous laisserais pas qualifier votre empire de "libéral". Ce n'est qu'un ramassis de pulsion, d'asservissement et de torture psychologique.
L'ordre de la galaxie est dans un état pitoyable. Le maître mot de vos futiles vie tient dans l'argent et le plaisir (sinon le plaisir de l'argent). Lorsque les marchands dictent la loi, je n'appelle pas cela libéral mais dictatorial.
Il faut se libérer de nos passions et de notre avidité pécuniaire. Nous devons résister.
Commandante Mata, vous vivez vos dernières heures de gloire. J'appelle tous les commandants à rejoindre l'insurrection, à se rebeller, à faire preuve de désobéisance civile. Attaquons l'Empire et ses alliés."
Le 11/08 ETU :
Le rire de Sid Vicious se fit bruyant :
"Ha ha ha! Vous ne vous rendez même pas compte de ce que vous avez créé. Vous avez asservis l'amour à l'argent, vous avez mit la passion noble sur l'autel du dieu argent Mammon.
Vous ne vous rendez même pas compte du gâchis que vous commetez. Sous couverts de purgation des passions vous avez donné libre cours aux passions les plus vils.
Aujourd'hui les marchands ont envahis le temple. Tel le prophète il faudra les déloger. Je vous parle d'argent car c'est vous-même qui avez fait rentrer l'or dans l'antre de l'amour. Misérables!"
