Demettra
(HRP//: Voila, j'ai fini par commencer à rassembler les morceaux du puzzle qui constitue la vie de mon personnage, pour l' instant ne suivent ci dessous que les RP déja postés à l' assemblée.
Cette partie seras bientot mise à jour, les titres indiquent les parties manquantes, les quelques non sens serons réparées.//)
Sommaire
-Carte d'identité
Nom: Inconnu Prenom: Demettra Age: 25 ans Taille: 1m71 Poid: 52kg Date d'anniverssaire: 5 fevrier
-Affaire Blind/ Meyen
Demettra s’éveille elle jette un coup d’œil vers l’entrée de ses appartements, elle s’étire lentement comme un chat puis se redresse sur son immense banquette dans un demi sommeil.
« -Que me voulez vous ?
Dit-elle enfin d’une voix sèche à la jeune femme prostrée au sol qui vient de la réveiller.
-Excusez moi Majesté, la commandante Stella vous envoie un message par l’holo-scan. Dit la femme d’une voix tremblante. Demettra se retourne paresseusement exhibant du même coup ses jambes fines à la peau brunie par le soleil.
« Soit, passez moi la communication. » Puis s’adressant aux gardes :
« Faites donner le fouet à cette idiote qui m’a réveillé. » L’holo-scan de sa chambre s’allumât alors, un hologramme à taille réelle apparut alors, c’était une jeune femme aux cheveux d’un noir profond et à la peau claire, ses yeux bleus brillaient d’une perversité insoupçonnée. Elle pris la parole ce fut d’une voix douce et cristalline.
« -Bonsoir Demettra, j’ai conscience qu’il est tard mais les événements se sont précipités. Sans surprise Demettra répondit.
-Bonsoir Stella que me vaut cet appel ?
-Blind est sur le point de mourir commandante, voulez vous que je vous branche sur ses caméras de bort ? -Inutile Stella et qu’en est il de Sandor et Meyen ?
-Sandor a attaqué Meyen selon vos plans Madame, tout marche à la perfection.
-Bien parfait Stella, vous pouvez disposer.
-Oui Madame mais qu’en est il de notre accord?
-Oh bien sur ou avais je la tète, la flotte et l’empire de Blind est à vous faites comme bon vous semblera, je vous ferais parvenir les chroniques par X-Com.
-Oui Madame. »
La communication s’arrêta, la jeune femme disparut.
Demettra se dirigeât vers son bureau, elle saisit un carnet de cuir, elle relut quelques lignes :
« […] Mon plan est en marche, Meyen seras bientôt une affaire réglée, je l’ai convoqué il y à de cela deux jours et je lui ai dit que Sandor Dharan voulais le tuer, qu’une offensive était menée contre lui. Je lui ai conseillé de mentir : « -Trouve n’importe quelle raison aussi futile soit elle pour l’attaquer avent qu’il le fasse ou tu seras perdu. » Bien sur il m’a cru immédiatement. J’ai alors pris contact avec le commandant Blind, je ne pouvait supporter la soudaine prise de pouvoir de MunSu j’avait décidé de le déloger sans prendre de risque, Blind était le personnage idéal, il aimait le pouvoir au moins autant que moi. »
Elle cessa de lire, puis pris une plume et écrit.
« Tout se serais passé dans les règles si Blind avait été plus discret, Les services secrets de MunSu apprirent son entreprise, de peur de me mètre en danger, ma seule solution était de se débarrasser de Blind. Ce soir la je pris contact avec son second, Stella une jeune femme intelligente en qui j’avais confiance. Elle faussa les informations de Blind, lui faisant de faux rapports, Blind courait au coupe gorge et moi comme toujours je m’en sortais. Me rendant auprès de MunSu habillée de soie légère et connaissant son goût pour les jolies femmes je me glissa dans ses appartements avec plusieurs danseuses ; me faufilant près de lui je lui glissait à l’oreille la trahison de Blind l’affaire Blind était réglée et je m’assurait les bonnes grâces de MunSu. »
Demettra termine ses écrits et pose sa plume, Voila l’affaire était réglée, elle allait maintenant visionner les derniers instants de Blind, le pauvre, pourtant il avait un potentiel….
-Le retour d’un inconnu
-Hellfire’s rédemption
Demettra marchais seule dans les ténèbres, un pas lent chacun de ses pas étaient une caresse, délicatement déposé ses chaussons de satin frôlaient le sol de pierre sans le moindre bruit comme si elle avais pu voler à quelques centimètres du sol, elle descendait inlassablement des escaliers de pierre polie par le temps la jeune femme s'arrêta devant une porte de bois noir haute de plus de six mètres de style gothique finement ciselé à la main, elle poussa le battant de cette entrée qui seule issue aux ténèbres semblais garder le paradis ou les enfers.
Dans ces catacombes, couloirs de la mort palpitais la vie, comme une pulsation cardiaque la musique jouait avec la pierre l'imprégnant de sa puissance et de sa profondeur subtile une vibration qui résonnait dans le coeur de Demettra et embarquait son âme à chaque envolée sans rien gâcher de ce moment parfait, indéfinissable juste onirique car la jeune femme redécouvrais avec stupeur la chapelle du palais ou elle avais toujours vécu, un lieu sacré ou les araignées avaient maintenant établit leur empire sur la pierre faisant courir des toiles de soie fines d'un bout à l'autre d'un plafond dont les quarante cinq mètres de hauteur se perdaient dans la noirceur des ténèbres. Demettra ne pus retenir une larme devant tant de splendeur oubliée, elle s'avança devant l'autel de la déesse Nerina la superbe d'où naissait le rosier sacré avec ses roses noires à la robe entremêlée de rouge comme autant des goûtes de sang versées. Demettra n'avais jamais cessé de croire en Nerina la superbe, déesse traîtresse qui avais ensuite perdu goûtes après goûtes de son sang divin avant que l'on lui accorde enfin le pardon de ses péchés, elle étais un symbole pour la jeune femme, la déesse du sang versé et du plaisir charnel qui autorisait le péché si il étais ensuite expié dans le sang.
Demettra s'allongea sur la pierre froide de l'autel, elle frissonna quand sa peau laiteuse toucha le marbre froid, elle portait une robe blanche diaphane qui laissait entrevoir des formes parfaites, la belle tenait dans ses mains jointes un poignard au manche d'argent travaillé représentant un ange enlaçant un démon. Les larmes aux yeux Demettra promena la lame aiguisée le long de ses poignets tançant une ligne sanglante avant de croiser les bras sur sa poitrine, elle continuais de pleurer mais l'effet ne se fit pas attendre, une sensation de bonheur l'envahit, contrant la douleur engourdissant ses sens dans un épais brouillard, Demettra remuais les lèvres dans des paroles imperceptibles :
" Pardonne moi Oh Nerina car j'ai péché.. "
Le sang versé coulait comme une minuscule rivière sur l'autel de marbre noir parcourant de minuscules gouttières creusées à même la pierre qui guidais le sang offert au pied du rosier qui s'en abreuvais. Demettra sentais le froid la parcourir, emmenant avec lui toute cette détresse, ce besoin d'une force supérieur, de protection, d'espoir, elle était juste bien comme si elle s'endormait. Le sang coulais et imprégnais la terre nourricière rappelant qu'ici, loin dans les profondeurs une jeune femme offrais ses forces sa foi et l'essence même de sa vie...
Cette musique, cette obscurité, Demettra revint à elle, sa robe avais retrouvé son blanc immaculé, l'autel brillait à la lueur de chandelle qu'elle ne se souvenais pas avoir allumé, on avait pansé ses blessures, la déesse l'aurais elle entendue ? Elle se jeta à genoux à bas de l'autel pour prier, le corps le coeur, l'âme pleins de nouvelles certitudes.
-Hellfire contre Insurgés
-Ma vie; mes pensés
Voila un voile qui se lève sur le passé de Demettra et sur les moments les plus noirs de sa vie.
"C'était le soir.
Un soir comme je les aimais.
Un splendide soir d'été ou l'azur du jour se fondait dans l'encre de la nuit dans une multitude de dégradés de pourpre, de jaune et d'orangé.
Le ciel était bleu : comme toujours.
Mais un bleu profond.
Infini.
Sans un nuage.
Je me prenais à regretter que mes yeux ne fussent pas bleus. Si ils l'avaient été, j'aurais pu me perdre totalement dans le ciel comme si une partie de moi faisait partie de lui.
Rêveuse.
Libre.
Je frissonnais, une brise légère s'était levée, caressant l'herbe fine et odorante de la prairie.
Mon esprit vagabondait : -S'envolais sur les ailes d'un papillon. -Voyageais avec le vent ; loin la bas, par delà les collines...
C'était sa ma conception du bonheur, rien de plus que la simple solitude, le calme et une étendue verdoyante à perte de vue.
Seule, je m'évadais.
Graine de poète, un brin philosophe voluptueusement lovée sous le ciel de velours.
Je ressentais le besoin de donner des mots, des phrases, des adjectifs à chaque chose que je voyais.
Décrire l'indescriptible ; définir l'indéfinissable.
C'est devant mes innombrables échecs que je recommençais encore et toujours avec le même acharnement et un émerveillement devant la simple complexité de la nature à chaque fois renouvelé.
Je sais maintenant que ceci est une caractéristique bien humaine après tout.
Notre esprit à besoin de structures rigides et fixes : D'idées toutes faites et de faits établis dans un monde où -et je le remarque aujourd'hui de plus en plus - tout est relatif.
Ainsi nous classons les végétaux en leurs donnant le nom d'arbres ou de fleurs, nous classons les couleurs par des noms, nous différencions même les hommes entre eux.
Nous avons besoin de savoir que la nature obéit à des lois...
Toutes ces idées sont le fondement même de la pensée humaine à bien y réfléchir, elles répondent à un besoin constant d'etre rassurés.
C'est ce qui nous différencie des animaux, des végétaux ou des minéraux.
La même matière nous constitue pourtant.
Mais après tout, méritons nous vraiment le nom d'homme?
J'ai bien souvent vu les hommes faire des choses qui n'avaient rien d'humain.
Ainsi, de fil en aiguille je me suis déjà éloigné du sujet d'origine.
Voila comment en quelques lignes je suis passé d'un soir d'été et de ses doux paradoxes à une réflexion sur la nature humaine.
Je trouve l'esprit humain délicieusement tordu. Voila une des raisons qui me font entretenir se journal.
L'autre est plus pratique, ma vie change peu à peu et échappe à mon contrôle.
Il faut malgré tout que je garde ses souvenirs qui peu à peu m'échappent pour ne pas que l'oubli me gagne alors que je me vide de l'essence même de ce qui faisait ma vie :
La liberté."
La jeune femme visiblement épuisée ferma les yeux et posa sa plume. Ses yeux bruns étaient cernés de noir, sa peau était blanche, livide.
Des lèvres fines d'un rouge rosé soulignaient un visage inexpressif qui avait du un jour être magnifique.
La femme qui était assise sur cette chaise n'était plus qu'un vestige de la vraie Demettra, sauvage et indomptable qu'elle avait toujours été.
Elle serra contre elle son carnet de cuir rouge en étouffant un éternuement rauque.
Un miaulement la tira du léger état de torpeur dans lequel elle semblait maintenant plongé en permanence.
Elle marchât d'un pas lent et difficile vers son lit.
C'en était fini de sa belle démarche féline et chaloupée, elle titubait maintenant à chaque pas.
Ses longs cheveux qui battaient à ses hanches avaient subit récemment une coloration gris perle.
Alors qu'ils lui donnaient il y à peu de l'allure et de la grâce, ils pendaient maintenant comme des ficelles informes et grossières, accentuant sa déchéance.
Elle s'allongea sur le lit, on devinait à travers ses vêtements trop larges les ruines de ce qui avait été un corps aux formes parfaites.
Demettra était maigre, anorexique, ses cotes se détachaient nettement, ses hanches qui avait été rondes et délicatement dorées, se résumaient aujourd'hui à des os recouverts par de la peau blanche.
Son chat, Flamme était lui aussi allongé la, elle plongeât ses mains fines et décharnées dans la fourrure du petit animal.
Celui-ci se mit immédiatement à ronronner en souriant avec son sourire de chat, il avait fermé les yeux et frottait sa tête contre le visage de Demettra.
Ils restèrent de longs instants comme sa, le silence seulement percé par le bruit de leurs respirations : Celle de Demettra légèrement plus lente que celle de l'animal.
Ils s'endormirent tout les deux.
Déjà une heure que je parcours ce foutu hangar de long en large, personne.
Je décide de sortir, le froid qui me mord alors les mains et le visage n'arrange pas mon humeur... Il devrait être la depuis le temps.
Je ne peut pas partir maintenant, j'en suis bien incapable, ma curiosité -Encore cette foutue curiosité- m'obsède. Elle me tien en laisse, captive et comme un chien je tourne en rond retenue par des barreaux invisibles.
Ce soir, la lune est presque pleine, j'aimerais sentir la chaleur de ses rayons à travers les nuages de glace; mais il fait froid, humide et cette lumière se perd dans le ciel d'encre.
Le froid me tien dans son étau, le vent qui s'est levé me gifle le visage, des larmes se forment aux coins de mes yeux et glissent le long de mes joues. J'attends.
Les quais sont déserts, tout semble attendre ; attendre oui mais...quoi ?
Soudain une impression de vertige me saisit, une ombre glisse sur le béton trempé de pluie. C'est lui ! Je ressens sa présence.
Je redresse mon dos crispé par le froid, une vague de panique m'envahit quelque chose n'est pas normal... J'entends un très léger signal sonore qui semble lointain, un simple Bip.
Puis tout s'enchaîne, des pas précipités, un homme qui court. Mon coeur s'accélère mes jambes se délient et je me met à courir.
Trop tard. Une explosion. Le hangar a sauté.
Une lumière vive envahit l'espace qui m'entoure, une vague de chaleur semble me saisir entre les omoplates, l'explosion ne m'a pas atteinte.
Je m'écroule, soudain touchée par une douleur fulgurante.
Non l'explosion ne m'a pas atteinte.
Allez dire sa au bout de taule qui viens de me traverser le dos...
Je rassemble mes forces et essaye de me lever. Grossière erreur mon ventre se crispe dans un dernier effort pour se redresser, la douleur est si insupportable que je retombe immédiatement au sol vidée de tout courage. Un hoquet de douleur, et en plus je suis mal tombée, je porte mes mains à mon abdomen, un liquide chaud vient lécher mes paumes gercées.
Et merde cette horreur me traverse de part en part. Je vois le coté positif maintenant faute d'autre chose, je ne serais plus jamais curieuse. Encore un bon point, je ne sens plus mes jambes, au moins c'est une partie de ma saloperie de carcasse en moins à me traîner. J'ai des picotements dans les bras, j'ai froid.
Pourquoi j'ai froid ? J'ai tellement froid que sa me brûle. Ma tête résonne, un voile se forme devant mes yeux et mes oreilles, j'ai l'impression de me déconnecter du monde qui m'entoure...
Tout vas si bien maintenant, pourquoi lutter ? Je flotte, c'est si merveilleux, je pars... A bon ? Mais pour aller où? Tout ce que je sais c'est que je glisse de ma propre conscience, j'ai l'impression que c'est ma dernière pensée.
Penser ? Pour quoi faire. Dormir. Je veux dormir...
Demettra se réveilla en sursaut, encore ce rêve étrange
Brusquement, se levant sans prendre le temps de se vêtir, elle se précipita dans la salle de bain, l’air constamment recyclé de la station spatiale lui brulant les poumons.
Elle s’arrêta net devant le lavabo.
Soudain, son ventre se contracta. Une envie de vomir, mais seule de l’eau s’échappait de ses lèvres entrouvertes dans une expression de dégout. Depuis combien de temps ne mangeait elle plus ? Deux semaines, peut être trois.
Elle avait perdu le compte, mais son corps lui devait se nourrir.
Le miroir de la salle de bain lui renvoyait une image qui ne reflétait plus la vie, son beau visage maintenant malingre aux joues rondes devenues osseuses.
Ses mains tremblantes ouvrirent le placard, précipitant vers elle des sachets de plastiques remplis de liquide : des perfusions prémontrés. Ce liquide, sa vie.
Elle tendit son bras aux veines durcies, bleuies, couvert d’ecchymoses. Autant de stigmates du mal qui la rongeait.
Bizarrement, sa main ne tremblât pas quand palpant la veine elle enfonçât l’aiguille guidée pas une longue pratique.
Précipitamment, elle adaptât un second sachet plus petit au tube déjà branché, réglât le débit à une goute toutes les cinq minutes et posât le tout sur l’étagère la plus prés de la baignoire dans laquelle elle se glissait.
L’appareil sophistiqué reconnut immédiatement une présence, réglant de lui-même la température de l’eau, légèrement plus chaude que celle de l’air.
Dans quelques minutes elle glisserait dans une douce torpeur ou ses cauchemars ne viendraient pas a hanter.
Hellfire: La cosa-nostra
…Oui comme l’avais dit Ju « la roue tourne » et elle tournera bientôt, d’ailleurs la chandelle, elle est bientôt consumée. Minuit sonne. 80% contre 30 précédemment. Assise à son bureau Demettra frissonne, plus que quelques secondes.
Une sonnerie retentit, mal captée par son antique webcam.
Fin des ventes.
Son offre est la plus intéressante, elle est momentanément soulagée, d’autant plus qu’elle vient d’acquérir 50% des actions chez « Plastoc mastoc ».
Demettra actionnaire majoritaire dans une entreprise de prothèses mammaires.
Fatiguée de rester immobile elle s’étire, la nuit viens de commencer et elle doit rester là, derrière son bureau, à travailler et cette fois elle ne peu pas utiliser sa technique de travail préférée : déléguer.
Sa liaison X-net saute encore comme toujours. Elle assène un coup sur le modem. Connexion rétablie.
Elle commença un message, distraite jetant ses idées pêle-mêle au fur et à mesure qu’elles lui venaient à l’esprit.
Expéditeur : Demettra
Destinataire : Munsu
Sujet : Super nouvelle
Message :
Bonjour bonjour,
Si je te dérange en plein travail –En espérant que tu travaille- c’est pour te faire part de mes nouvelles activités, je n’étais pas très présente ces derniers temps et je m’en excuse.
Aux dernières nouvelles en plus du marché du sex, j’ai enfin mis la main sur l’industrie de la beauté, prothèses mammaires c’est moi, recherches sur les produits de lifting, encore moi. Je me lance également dans la mode, avec déjà 200 ateliers de haute couture ratachés à ma compagnie et ce n’est qu’un début. Des établissements qui n’arrivent certes pas à la cheville de mon petit palais –si tant est qu’il puisse en avoir- sont en constructions sur plusieurs planètes au plus prés de la bordure extérieure. Le principe est simple, placer les bonnes personnes aux bons endroits, remuez le tout et il en résulte l’installation d’au moins un établissement par ville de plus de 1 000 habitants. Je me fais en ce moment même une petite fortune réinvestie dans un domaine dans lequel vous ne pensiez pas me trouver, la création des Mc Dy, restaurants à petit prix qui distribuent une nourriture calorique et grasse à souhait. Un désastre pour la santé mais les populations locales y sont devenues accro. Mon nouveau domaine s’étend déjà beaucoup, mais je me lance dans un nouveau secteur, les jeux d’argent. J’ai besoin de vous tous pour mener ce projet à bien, je préviens tout le monde au plus vite, rejoignez moi tous au petit palais des que possible. Je disparais momentanément pour mettre en place mes propres services secrets, je les prévois de faible envergure, c'est-à-dire limités à mes propres bâtiments.
Je ne suis pour une fois pas restée inactive mais ne vous y habituez pas trop je ne suis vraiment pas faite pour rester derrière un bureau.
Amicalement,
Demettra
Elle se détendit et se dit que son score était déjà intéressant pour ce que certains auraient appelé " une faible femme ".
Mais elle restait pensive, la présence d’une femme dans la familiga ne lui semblais pas naturelle et elle avait tellement l’habitude de travailler à sa manière que le soudain lien qui l’entravais à ses collègues et amis semblait la gêner.
Pas profondément bien sur, mais rien n’étais pas clair dans son esprit.
Apres tout oui la nuit ne faisait que commencer et elle n’allait pas rester ici seule avec ses pensés et à rien faire.
Se levant, direction le hangar elle prendrait le premier chasseur B à sa disposition pour le Hellfire café.
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(Personnages précedents: Elisabeth bathory)