Hopplitte

De Apocalypsis
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Darklink.png ========== Darklin2.jpg ========== Hoplite.jpg

Darklink et Hopplitte sont en effet les mêmes personnes. Ils n'ont aucune ressemblance sauf peut être l'intelligence. Oui je sais je suis très gentil avec moi même.


I Le commencement

L'apocalypse

Darklink était caché chez lui. Il voulait se protéger à tout prix de l'apocalypse. Sa vie n'avait été pour l'instant que trop courte. Tout d'un coup il entendit un bruit. Il sortit et vit des millions de kamikazes s'écraser sur sa planète. C'était Typheros qui se vengeait. Darklink voyait sa planète se faire détruire quand tout devint noir. Il sentit tout d'abord le sol mais ce dernier disparu. Darklink se retrouva seul, ombre parmi les ombres. Puis au bout de longs jours, il aperçu une lumière. Elle l'attirait. Il retrouva certains de ses anciens amis qui étaient aussi attirés par cette lumière. C'était DIEU. Le seul l'unique, le CREATEUR du monde. Il recensait les nouveaux commandants et les envoyaient sur leur planète. le tour de Darklink arriva. Dieu se souvenait de darklink comme il se souvenait de tous. Il savait tout du plus infâme au meilleur, il connaissait tous les gestes de darklink. Ce dernier était très impressionné. Dieu affecta darklink dans un système quelconque. Darklink fut transporté jusqu'à sa planète.

L'Histoire commençait. Il avait dans l'idée dans écrire une page.


Du sénat à l'empire des sens Angelus.jpg Janus-jana.jpg Chiana.jpg Mablane.jpg


Cette galaxie était partie sur l'idée d'une belle démocratie. Celle-ci était menée par Angelus l'omega et Mablane. Cependant, elle était trop idéaliste et le peuple n'était jamais content. L'empire des sens avec la belle Chiana ou Mata hari ont pris le pouvoir et ont instaurés l'empire des sens. Aujourd'hui, ces commandants diffusent le plaisir tantrique à travers la galaxie. Ils semblent totalement intouchable. Cet empire est dirigé par notre dieu à tous Janus-jana : le dieu homme-femme, le plus représentatif des plaisirs tantriques.


La fin


Darklink était assis comme toujours sur son trône devant son empire. Il était assez content de lui. Son empire connaissait son apogée. Mais darklink était seul. Ses amis lui tournait le dos. Il décida de se retirer. Il alla voir Eiganjo et lui dit :

"Je m'en vais

_Comment ça ? Pour toujours ?

_Oui et ..."

Eiganjo se mit à danser et demanda à ses chiens d'organiser un grand festin. Darklink laissa alors ses planètes à Eiganjo puisqu'il n'avait personne d'autre à qui les donner. Il s'en alla seul et dans l'ombre comme il l'avait toujours été.

Tu as été poussière et tu redeviendras poussière.

II La réanimation

Hopplitte ne voyait rien, ne sentait rien. Il croyait qu’il s’était perdu au fin fond de la galaxie. Il se rappelait seulement qu’il avait été tué par les dieux parce qu’il était devenu un dictateur trop puissant. Il avait trop d’ennemi. Il se leva mais ses jambes étaient trop faible. Il retomba. Il continua pendant plusieurs jours . Il réussi finalement à rester debout. Mais il essaya de marcher. Il eut l’impression de tomber de très haut pendant très longtemps. Il retomba dans le même état qu’au début. C’était donc ça la mort ? Il se résolu à s’arrêter et à faire son mea culpa. Cela prit très longtemps tellement il avait été ignoble dans son ancienne vie. Il entendit soudain une voix. Il l’a reconnu : c’était celle du dieu qui lui avait donné ses premiers pouvoirs. Ille lui dit : « tu n’es pas mort, seulement écarté de la vie humaine. Tu as abusé de notre bonté. Tu pourra recommencer ta vie mais cette fois tu seras seul sans personne. Bonne chance jeune commandant. » Hopplitte n’en revenait toujours pas, les dieux lui avaient donné une deuxième chance. Il ne voulait pas la gâché et décevoir ces personnes si puissantes qu’ils admirait. Il se réveilla le lendemain dans une maison. Il se leva sortit et vit qu’une belle journée l’attendait. Il n’attendait plus rien de l’avenir mais l’avenir attendait tout de lui.


VICIEUX par nature, TUEUR par instinct Eiganjo.jpg MENTEUR par nécessité, MAUVAIS par choix, voici EIGANJO


Après multiples débats Hopplitte avait récupéré une partie de ses biens à Eiganjo. Il était assis dans son bureau en face de son sergent qui prit la parole :

"La planète ultremia s’est encore rebellé

_Encore c’est au moins la dixième fois depuis qu’Eiganjo nous la rendu !

_Justement

_Quoi justement ?

_Des agitateurs ont été aperçu plusieurs fois sur ultremia.

_Eiganjo ?

_Je ne sais pas mais en tout cas ce sont des labradors qui énervent la foule et font des critiques à tout va .

_Oh le chien !!!

_En effet ( le sergent sourit content de son jeu de mot ) "


Hopplitte exaspéré par l’idiotie de ses sergents qui lui rappelaient Eiganjo s’en fut dans son vaisseau. Il partit directement sur sa capitale. Il descendit et alla sur la place du marché. Une foule était assemblée autour d’un chien. Hopplitte se rapprocha et le regarda droit dans les yeux. Le chien l’insultait et disait des choses infâmes sur lui. Hopplitte lui dit :

" Tu viens de la part d’Eiganjo

_et je pense que je vais repartir ! "


Le chien s’enfuit en courrant à toute jambe. Hopplitte le poursuivis. Ce chien comme ses congénères était idiot. Hopplitte le coinça dans un cul de sac. Le chien montra ses crocs. Hopplitte lui montra un gâteau. Le chien viens lui lécher la main. Hopplitte l’attrapa par le collier et regarda son adresse. Il s’y rendit et y trouva Eiganjo qui attendait son agitateur. Eiganjo qui était encore en train de manger se leva et dit :

" C’est pas ce que tu crois

_ Ah oui, tu cherches encore à me ruiner

_Bon d’accord c’est mon hobbit préféré "


Hopplitte s’énerva et saisit Eiganjo. Il l’envoya sur le mur du fond et sortit. Il retourna sur la place du marché et annonça :

"Ultremia va être détruite sur ordre d'Eiganjo.Il se trouve actuellement dans la ville, rue xxx ( encore une fois très précis )."

Les gens n’en croyaient pas leurs oreilles. Ils se dirigeaient tous chez Eiganjo.

Hopplitte était assez content de lui. Toute sa vengeance était enfin accompli. Il venait de comprendre que c'était mieux pour lui de laisser totalement son ancienne vie.