Lizaka

De Apocalypsis
Sauter à la navigation Sauter à la recherche

Présentation

Photo habituelle du Commandant Lizaka. A noter que ses paupières sont habituellement closes.

Lizaka est un jeune homme charmant, vêtu d’un ample kimono aux tons beiges. Malgré sa richesse, ou peut-être justement à cause de celle-ci, il conserve un habillement sobre, simple. Il préfère l’habillement agréable aux fioritures gênantes des autres riches. Comme si, de par sa position de totale suprématie, il n’avait plus besoin de plaire et de se plier à l’étiquette, ayant le pouvoir de vivre totalement comme il l’entend, sans craindre de vexer. Ce type d’habillement conférait tout de même un message sous-entendu : il est plus puissant que ses interlocuteurs qui se plient à fortes procédures protocolaires devant lui. On pourrait croire que cette habitude révèle une innocence infantile, un hédonisme primaire, mais ce serait une grave erreur que de juger Lizaka aussi grossier politicien.

Une de ses particularités surprenantes est le fait peu commun qu’il se déplace par lévitation. Ses jambes repliées sur elles-mêmes, la fameuses position de Lotus, il vole à travers l’Assemblée, comme soulevé par une force invisible. Un autre trait étonnant est son regard. Ses yeux restent en permanence fermés, comme tourné vers une vision intérieure. Pourtant, il voit aussi bien que le commun des mortels. Il a souvent un petit sourire sain de satisfaction, comme si la vie l’amusait, comme si le monde était un jeu, et qu’il gagnait.

Par tous ces différentes caractéristiques émane de son apparence une aura de sérénité et de simplicité. On put le croire un moine reculé cultivant son monde intérieur, un sage ermite plongé dans sa réflexion dans un petit paradis. Il était décontracté, sans soucis. S’il n’avait pas cette ruse qui ressortait dans les angles de son visage, on aurait pu le prendre pour un simplet. Encore une fois, lorsque l’on est en présence de pareil individu, juger rapidement est synonyme d’erreur à coup sûr. Malgré son irradiation de simplicité, de bonheur simple et sage, c’est un politicien rusé qui se cache derrière. Un marchand sans pitié qui en manipula plus d’un à ses fins.

Il fut très tôt la plus grande richesse de la galaxie. Et, malgré qu’on put le croire détaché du monde matériel, il en profite bien. « Le bonheur vient de la satisfaction. Je tire ma satisfaction du luxe. » Au fil des temps, il gagna une grande influence au sein de l’Assemblée. Souvent derrière les coups tordus, sa verve devint plus ironique, car il découvrit que c’était souvent plus efficace, et plus amusant.