Archevèque

De Apocalypsis
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Archevèque, grand prêtre Gritchèque

Qui est-il?

Pour mieux le savoir, demandons aux archives de ce dernier de nous conter un petit récit, qu'il a lui même écrit dans son journal de bord :

Système 145, Planète Vertius.


L’Archevèque marchait. Quel que chose le tracassait : il ne savait rien de ses origines. En fait, il ne se souvenait de rien avant ses 17 ans. Il s’était réveillé un beau jour, sur une planète. Qu’avait-il vécu durant ces 17 années de trou noir ? Qui étaient ses parents, que faisaient-ils, étaient-il de respectables marchands, ou des tyrans sans pitié, menant d’une main de fer une planète. Il ne savait pourquoi, alors qu’il n’y avait jamais pensé avant, maintenant, toute ses pensées allait à cette question : « QUI SUIS-JE ? » Enfin si, il savait pourquoi. Depuis qu’il avait fait ce cauchemar. Il y avait vu les choses qu’une certaine personne, Alnia, avait décrites il y a peu à l’assemblée. Bon jusque la, rien de bien alarmant, vu l’atrocité des choses, normal qu’il en cauchemarde. Le réel problème, c’est qu’il avait fait ce rêve avant son intervention à l’assemblée. Depuis ce jour, il se demandait si il n’avait pas des origines en commun avec les déviants. Il s’était donc renseigné, mais il n’a trouvé que peu de choses à leur sujet. Il n'avait trouvé qu'un numéro et un nom : 1395 – Hypérion.

C’était une planète. Et, ce jour où l’Archevèque déambulait, l’air absent, était celui du départ vers cette dernière.

Le moment venu, le vaisseau partit. Nous vous épargnerons les détails d’un voyage ennuyeux qui se déroula sans problème.

Une fois arrivé dans le système 1395, en orbite autour de la planète, les problèmes commencèrent à arriver. En effet l’orbite de cette planète croise un léger champ d’astéroïdes, ce qui a une fâcheuse tendance à compliquer la descente du vaisseaux aussi gros et lents que celui où était Archevèque (comment allier, confort, suite luxueuse, armement de malade et vitesse dans un tout petit vaisseaux ?)

Après moultes man½uvres périlleuses, le vaisseaux réussit à ce poser sur une plateforme, au milieu de nulle part. On aurait dit qu’elle était là exprès pour les accueillir. Cette plateforme était entouré d’hautes herbes. Un des lieutenants de l’Archevèque mis pied à terre sur ces herbes. A peine eut-il posé le pied, qu’il hurla, avant de tomber et de s’empaler une mer d’herbe géante, tranchante comme des lames de rasoir. C’est alors qu'Archevèque remarqua une sorte de char à voile. Il en déduit qu’il fallait le prendre pour traverser cette « mer d'herbe ». Une petite équipe d’expédition partit avec l’Archevèque, dans la limite du char, à la recherche d’une ville, ce qui fût relativement facile. Le char à voile avancait tout seul, guidé par une corde, impossible donc de le man½uvrer pour prendre une quelconque autre direction. Au loin, on apercevait une forêt, bordée par un fleuve.

Une fois le char arrivé, la forêt était tellement dense et le fleuve trop large pour être traversé, aucun bateau ne permettait non plus de le remonter, que notre groupe n’avaient pas le choix, ils devaient suivre l’unique chemin. Tout allez bien jusqu'à un croisement : là deux choix s’offraient à nos aventuriers. Le premier : un panneau avec marqué « Forêt des flammes », le deuxième : aucune indication.

Alors que les compagnons d’Archevèque s’apprêtaient à se diviser en deux, ce dernier les fit taire. Et continua à avancer vers la direction sans indication. Il ne savait pourquoi, mais il le sentait. Petit à petit, alors que la forêt s’éclaircissait, une tour, puis des bâtiments commençaient à apparaître. Une ville. Vu la taille, une capitale. Les rues étaient désertes et les batiments un petit peu en ruine. Pas un bruit ne se faisait entendre, si ce n’est celui du vent sifflant, claquant des portes, sûrement pour l’éternité. Le temps était différent en ce lieu. Cette ville avait s’en doute était déserté depuis des siècles, mais tout était comme ci elle l’était depuis quelques heures. Sans doute aussi parce que la végétation n’avait pas encore recouvert les murs, D’ailleurs aucune plante, ou arbre ne poussait. Comme si ils n’arrivaient pas à prendre racine dans ce sol trop dur et pauvre. Tout d’un coup, alors que la troupe avancée dans un silence lourd et oppressant, un veille homme dans un sâle état apparu. C’était un hermite. Il parlait d’une voix rapide et rauque, dans une langue inconnue. Puis il claqua des doigts et un éclair blanc surgit de ses doigts. Puis plus rien, le silence, la vue qui revient petit à petit. L’Archevèque était seul. Seul avec ses souvenirs.

En effet, il avait des visions, ici il voyait un enfant de 10 ans qui courait après un chien, par là une classe avec un professeur à faire peur par son physique, comment dire … tranchant. Il avait des piques sortant de partout. Il traçait plein de trait avec des formes sur un tableau. C’est une de ces fameuses séances de tableau noir (étude tactique). Sa vie lui remontait, et pendant ces visions, il ne vit pas qu’il avait changé d’endroit. Il ne se trouvé plus dans la rue, mais dans un temple. Il savait qu’il était dans un lieu sacré. Il avança vers la statue. Sur le socle, il y avait marqué : Le Gritche, Dieu Déviant. A ses côtés, on pouvait apercevoir son frère Belial, et Dieu 1/3, Dieu 2/3, Dieu 3/3. Ca y est, tout lui revenait, toute son éducation en ces lieux, sa jeunesses.

La déviance… La réponse à sa question était si simple : en même temps qu’il la pensé, il la hurlait : « JE SUIS DEVIANT ! » C’est alors que la statue s’anima. Non, un esprit de la forme de la statue en sortit. L’Archevèque tomba à genou tellement cet esprit inspiré le respect de part sa carrure et son aura, son essence déviante. Il lui parla :

« Enfin tu reviens à ta véritable nature. Tes parents, ami et allié de Ran, on tenté de fuir à la mort de Soln. Ils t’ont emmené avec eux. Nous les avons traqués, torturé pendant des mois et des années, jour et nuit. Mais ils n’ont jamais voulu dire ou tu étais. Ah l’amour, je savais qu’a force de vivre parmi des humains, tes parents seraient imprégnés par cette absurdité, purement humaine ! … Mais tu es revenu, ce qui prouve que tu es des bel et bien des nôtres. Hummm, je sens que tu es destiné à faire de grande chose avec Alnia, fille de mon frère Bélial. Ah un sacré bout de déviante, celle là. Tu dois maintenant rentrer au palais déviant. Va… Tu as la faveur de tes Dieux ! »

Le Gritche traversa alors l’Archevèque. Ce dernier ce senti rempli d’un immense savoir et d’un immense pouvoir durant un instant. Puis il se retrouva dans le bureau d’Alnia, sur la planète Palais déviant du système zéro. Il était changé. Moralement déjà, de part sa déviance. Il était (re)devenu un parfait déviant. Ou plutôt un prêtre déviant, ce à quoi il avait été formé durant sa jeunesse. Et physiquement : Sur sa poitrine, une croix avec le Gritche enroulé dessus était gravée dans la peau, dans la chair. Ses yeux avaient pris une couleur d’un rouge aussi luminescent que le bleu d’Alnia. Ses habit avait changé aussi, maintenant il portait une sorte de robe rouge, très longue, avec un col long et relevé, et un décolleté montrant la gravure à même sa peau. Il portait un sceptre dans sa main et une dague à sa ceinture.

Alnia retourna alors son fauteuil, et dit :

« Je t’attendais. Nous avons des choses à faire tout les deux... »

Et les deux partirent dans un rire démoniaque, l’un faisant écho à l’autre…


Grand prêtre Gritchèque

L'Archevèque est un grand prêtre Gritchèque du culte du Gritche. Il est le successeur de Araskel, demi-Dieux déviants du Panthéon déviant. Son rôle est de porter la bonne (ou mauvaise, cela dépend du point de vue) nouvelle. Il convertie les humains dignes de rejoindre les déviants et qui on suent faire valoir leur par déviante. Contrairement au prêtre de votre pauvre religion, simple humain, il ne prône ni la paix, ni le pardon, mais bien l'accomplissement ultime de la déviance, la destruction totale et irréversible de toute humain ne déviant pas. Il prend part aux combats au côtés des Grands seigneurs de guerre et de la Reine Alnia avec son armée de soldats de la croix régénérés.