Kev Walker : Différence entre versions
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J’étais prêtre dans mon village. Une famille de 6 enfants, une jolie femme et une très belle chapelle. | J’étais prêtre dans mon village. Une famille de 6 enfants, une jolie femme et une très belle chapelle. | ||
− | Je menais une vie heureuse jusqu'au jour où mes enfants furent assassinés, ma femme | + | Je menais une vie heureuse jusqu'au jour où mes enfants furent assassinés, ma femme violée et tuée et ma chapelle pillée puis brûlée. |
A partir de là, mes rêves furent dissipés et la puissance divine abandonnée. La purification est mon destin, ma destinée, je me devais de partir pour me venger. | A partir de là, mes rêves furent dissipés et la puissance divine abandonnée. La purification est mon destin, ma destinée, je me devais de partir pour me venger. | ||
− | Je partis donc à la recherche de cet infâme. Lui, ne se doutant pas de mon entraînement militaire reçu avant de devenir prêtre. Il fut assez simple de suivre sa trace et d’arriver jusqu’à sa demeure. Une fois sur le pas de la porte, cela fut facile de me faire inviter par sa femme pour manger un morceau. Qui se méfierait d’un prêtre ? A la fin du | + | Je partis donc à la recherche de cet infâme. Lui, ne se doutant pas de mon entraînement militaire reçu avant de devenir prêtre. Il fut assez simple de suivre sa trace et d’arriver jusqu’à sa demeure. Une fois sur le pas de la porte, cela fut facile de me faire inviter par sa femme pour manger un morceau. Qui se méfierait d’un prêtre ? A la fin du dîner, je savais tout ce que j’avais à savoir. Cette vermine était mercenaire et avait accepté cette ignoble mission (ma destruction) pour nourrir sa famille. |
− | Quelle fut sa surprise quand il arriva devant chez lui et vit ses deux petites filles pendues à l’entrée de sa maison. Sa femme | + | Quelle fut sa surprise quand il arriva devant chez lui et vit ses deux petites filles pendues à l’entrée de sa maison. Sa femme quant à elle avait juste le visage lacéré, les joues entaillées, les cheveux rasés. Il ne fut pas très difficile pour moi de le maîtriser et de l’obliger à me voir violer sa femme devant ses yeux impuissants. |
Une fois consommée, j’achevais sa femme d’une balle de Bolter dans la tête. | Une fois consommée, j’achevais sa femme d’une balle de Bolter dans la tête. | ||
Après avoir coupé ses doigts un par un, je brûlais sa demeure sans le tuer. Pendant que je quittais cet endroit en flamme, je ressentis un immense plaisir. Tuer n’était plus un problème pour moi, c’était même devenue un plaisir plus que salasse. | Après avoir coupé ses doigts un par un, je brûlais sa demeure sans le tuer. Pendant que je quittais cet endroit en flamme, je ressentis un immense plaisir. Tuer n’était plus un problème pour moi, c’était même devenue un plaisir plus que salasse. |
Version actuelle datée du 7 juillet 2006 à 15:40
J’étais prêtre dans mon village. Une famille de 6 enfants, une jolie femme et une très belle chapelle. Je menais une vie heureuse jusqu'au jour où mes enfants furent assassinés, ma femme violée et tuée et ma chapelle pillée puis brûlée.
A partir de là, mes rêves furent dissipés et la puissance divine abandonnée. La purification est mon destin, ma destinée, je me devais de partir pour me venger.
Je partis donc à la recherche de cet infâme. Lui, ne se doutant pas de mon entraînement militaire reçu avant de devenir prêtre. Il fut assez simple de suivre sa trace et d’arriver jusqu’à sa demeure. Une fois sur le pas de la porte, cela fut facile de me faire inviter par sa femme pour manger un morceau. Qui se méfierait d’un prêtre ? A la fin du dîner, je savais tout ce que j’avais à savoir. Cette vermine était mercenaire et avait accepté cette ignoble mission (ma destruction) pour nourrir sa famille. Quelle fut sa surprise quand il arriva devant chez lui et vit ses deux petites filles pendues à l’entrée de sa maison. Sa femme quant à elle avait juste le visage lacéré, les joues entaillées, les cheveux rasés. Il ne fut pas très difficile pour moi de le maîtriser et de l’obliger à me voir violer sa femme devant ses yeux impuissants. Une fois consommée, j’achevais sa femme d’une balle de Bolter dans la tête. Après avoir coupé ses doigts un par un, je brûlais sa demeure sans le tuer. Pendant que je quittais cet endroit en flamme, je ressentis un immense plaisir. Tuer n’était plus un problème pour moi, c’était même devenue un plaisir plus que salasse.
Aujourd'hui je suis un moine Renégat ayant pour seul acte de conduite de me prendre pour dieu le Père, et décider de qui doit vivre ou mourir. La morale m’a abandonné, je n’hésiterai pas à supprimer toute personne se mettant en travers de mon chemin et de la purifier.
Kev Walker, moine renégat.